Une guerre de religion fait rage autour du chanvre depuis longtemps. Pour certains, le cannabis est une drogue passerelle sous-estimée qui déclenche la psychose. Pour d’autres, c’est un aliment de luxe injustement diabolisé et en même temps une arme médicale à tout faire. Mais ceux qui sont du premier côté ont leurs raisons que vous devez savoir.
Risque d’accident
Toute personne ayant consommé du cannabis ne doit pas conduire, d’ailleurs, c’est également interdit. Tout comme la consommation d’alcool, le cannabis affecte la capacité de conduire : la capacité de concentration est restreinte et le temps de réaction est plus long. Les distances et les vitesses sont mal évaluées. Une métaétude en 2016 a montré que les personnes qui ont consommé du cannabis sont plus susceptibles d’être impliquées dans un accident de la circulation de 20 à 30 %. Le site https://consultation-juridique.fr/ présente différents moyens pour pallier les problèmes liés à la prise de cette drogue. Vous avez tout à gagner à y jeter un coup d’œil.
Maladies respiratoires
Le cannabis est de préférence fumé, souvent mélangé avec du tabac. Cela met à rude épreuve les voies respiratoires et les poumons. Si le cannabis est fumé sans tabac, le bilan est bien sûr un peu meilleur. Une étude de 2005 n’a trouvé qu’une faible corrélation entre la consommation de cannabis pur et le cancer du poumon. Avec une consommation chronique, cependant, la fonction pulmonaire se détériore considérablement. La bronchite et la toux chronique sont également plus susceptibles de se produire.
Déficience intellectuelle
La consommation de cannabis ne rend pas stupide, mais à court terme – pendant 24 heures après la consommation – elle altère la capacité d’apprendre, d’être attentif et de se souvenir. Avec une forte consommation chronique, le traitement d’informations complexes, les performances de la mémoire et la concentration sont restreints. Ces restrictions ne sont pas très prononcées, mais peuvent être prouvées par des tests. Les limitations à long terme des performances cognitives sont menacées par les personnes qui ont commencé à consommer très jeunes et qui consomment beaucoup.